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OPINION : Déjà un an de Coronavirus, retour sur une gestion de crise sanitaire - très - critiquable ? Brève lettre au président Macron : confinez face au virus de la sociabilité !! On se retrouvera le jour venu tous ensemble. Veillez d'éviter de passer de la gabegie vers l'anarchie de la vaccination ?

16 Mars 2021, 21:33

OPINION

  • L’exécutif est régulièrement critiqué sur sa gestion du coronavirus. On a l'impression que le gouvernement court après la transmission du virus, rien n'est fait pour prévenir, endiguer convenablement. C'est la politique du chiffre et du tableau Excel avec la question : jusqu'à combien de morts quotidiens les français vont-il tolérer ? C'est la politique à la petite semaine.
  • Le gouvernement paye depuis le début les communications calamiteuses de certains de ses membres sur le port du masque ou les tests, et maintenant sur l'efficacité des vaccins.
  • C'est le trop plein de communications contradictoires, les hommes et femmes politiques parlent trop sur un sujet qu'ils ne maîtrisent pas, ni les médecins...
  • Le président s'entête et tout le monde sait que pour se protéger d'une rencontre virale, il n'existe qu'un latex possible, à savoir la réduction drastique des contacts sociaux. Il y a donc urgence de confinements ponctuels, partiels, territoriaux, récurrents, planifiés... Nous français ne pouvons vivre au jour le jour sans savoir, sans pouvoir, sans imaginer un lendemain....
  • On nous a dit il n'y aura jamais de seconde vague, et nous sommes à la troisième vague !
  • Monsieur le président, confinez s'il le faut. Mais confinez sagement. Ne laisser l'anxiogène nous scléroser.
  • Confinez mais laisser nous le temps de nous organiser, de nous préparer, et ainsi sauvez l'avenir des mois à venir,
  • Le vaccin ne touchera pas tout le monde avant l'été sauf si enfin vous mettez l'armée à contribution. Vous parliez il y a un an "nous sommes en état de guerre", pourquoi pas (même si l'ennemi est invisible) mais où sont les hôpitaux de campagne, les médecins et infirmiers militaires, les réservistes, la logistique militaire.... la course contre les variants va être perdue.
  • Nous n'aurons plus jamais confiance dans les politiques, à 60 ans, je ne me sens pas protéger par mon pays, et j'ai mal à la France, qui plus est à 10000 km de vous, à La Réunion !!
  • M. Macron, décidez, agissez, mettez le paquet, on ne peut plus tolérer 350 morts par jour, des gens jeunes hospitalisés et des malins qui se font vaccinés avec des doses restantes.
  • C'est déjà la gabegie et demain l'anarchie qui guette.
  • M. Macron, vous me décevez !!! et je n'en dors plus les nuits de cet ennemi invisible qui porte close ne peut nous atteindre... la solution est de s'enfermer un certain temps. L'économie, les études, les industries repartiront toujours, les vies perdues le seront à jamais 
  • Confinez face au virus de la sociabilité !! On se retrouvera le jour venu tous ensemble. 
  • P. Clauzard

j'habite à La Réunion, j'ai 60 ans. J'ai demandé à l'ARS et à des centres de vaccinations de bien vouloir m'inscrire sur leur liste d'attente. On me répond c'est complet, il y a 500 personnes inscrites sur ces listes dans chacun des 4 centres de vaccination de l'ile de La Réunion. On ne veut pas m'inscrire. Au même moment j'apprends qu'un ami de 40 ans en bonne santé réussit à se faire vacciner, car assez malin il a su se débrouiller. Je suis outré, est-ce la jungle de la vaccination et demain le marché noir de la vaccination comme dans les années d'occupation... Allons-nous de la gabegie vers l'anarchie de la vaccination ?

ARCHIVES DE PRESSE

C'est le moment de nous demander, nous citoyen·nes du monde qui nous lavons les mains en permanence: «Entre quelles mains sommes nous?», face à un ennemi qui ne connaît pas les frontières. Aucun leader et aucune entité supranationale n'a été à la hauteur de la situation. Tous les gourous de la gouvernance globale, d'ordinaire si prodigues en prévisions et scénarios futuristes, ne l'ont pas été davantage. (...) La Chine a tardé à informer le monde, s'est caché le problème à elle-même, a puni ou laissé mourir plusieurs médecins courageux, avant d'organiser la quarantaine d'une région tout entière. Et pendant que les Chinois·es se confinaient, aucun chef d'État ou de gouvernement n'a semblé s'inquiéter davantage: aucune mesure d'urgence n'a été aussitôt prise, comme il eût été juste et logique. Business as usual: d'abord l'économie, puis la santé. Ce qui se passait en Chine a été vécu comme un risque lointain, une disette ou une guerre qui peut affliger des coins du monde accoutumés à la souffrance et à la tragédie, et sûrement pas notre monde riche et évolué. On commençait à se préoccuper de secteurs comme ceux de l'automobile et de la mode –mais en raison de notre dépendance au marché chinois, pas pour la santé des client·es et des employé·es–, à prendre la température dans les aéroports et à protester si une croisière ou un tour operator étaient stoppés dans un paradis exotique. Rien de plus. (...) L'OMS également a paru ne pas réaliser la gravité de la situation. Elle a tardé à lancer l'alerte de la pandémie et à conseiller un protocole «chinois». Les gouvernements ont réagi à l'avenant. Le pouvoir, timoré quand on se montre arrogant ou absolu, a donné des signaux de stupidité et... d'impuissance.

Suite de l'article de Massimo Nava, traduit par Catherine Colombani, paru dans Slate.fr

Masques, chloroquine, désinfection... alors que l'épidémie de coronavirus s'aggrave rapidement en France, la droite distille, au nom de la transparence, ses critiques sur la gestion de la crise par l'exécutif.

Le patron des députés LR Damien Abad a donné le ton jeudi, regrettant "le peu de réponses" concrètes apportées par Emmanuel Macron la veille à Mulhouse, et estimant que l'urgence était aux masques et aux dépistages plus qu'à un nouveau plan pour l'hôpital.

Elle s’appelle Ai Fen et la fatigue creuse ses traits au-dessus de son masque. L'interview de cette médecin chevronnée, publiée mardi dans le magazine chinois People, est venue gâcher la débauche d’autocongrulation du Parti communiste face à la baisse des contaminations au Covid-19 en Chine. Ai Fen est la patronne du service des urgences de l’Hôpital central de Wuhan, situé à quelques kilomètres du marché aux poissons considéré comme l’épicentre de l’épidémie. Le 30 décembre vers midi, elle prend connaissance du résultat d’analyses d'un des nombreux patients hospitalisés depuis trois semaines avec une infection pulmonaire inconnue. «Coronavirus du Sras», conclut le laboratoire pékinois, qui a cru reconnaître le syndrome respiratoire aigu sévère apparu en Chine en 2003, qui avait fait 800 morts dans le monde et déclenché une modernisation du système de santé chinois. Ai Wen prévient immédiatement le département de contrôle des maladies infectieuses, et sonne l’alarme auprès des chefs de service sur la circulation d’un virus inconnu et inquiétant.

Suite de l'article de Liberation.fr ci-dessous

"C'est inimaginable qu'on vous avoue qu'il n'y avait plus du tout de stock de masques FFP2 alors que la crise avait commencé", s'insurge l'insoumis, pour qui "les choses ont été mal anticipées. Il faudrait que ça soit différent pour la sortie. (...) Le déconfinement se prépare maintenant", exhorte-t-il.

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